Sculptures dans le Jardin Enchanté
Des sculptures à l’extérieur en accord harmonieux avec l’environnement.
Pas forcément une recherche exagérée de mise en valeur des pièces
qui doivent s’intégrer parfaitement aux plantes, aux arbres, au paysage,
au type de terrain.
Une recherche d’adéquation, et non pas une rivalité avec la nature.
Un consensus plutôt qu’une disparité, l’amour, plutôt que l’opposition.
Un regard englobant le tout (Land-Art).
Pas de séparation, mais un retour à la fusion.
Une humilité face à l’exubérance de la vie végétale.
Une approche simple, un dévoilement progressif.
Ne jamais perdre l’unité.
Solidarité et respect, sans faille.
La beauté sans vanité.
L’expression plutôt que l’endormissement.
Des retrouvailles avec la magie, avec les forces perdues ou saccagées de Gaia*
Des petits objets d’humanité, sans prétention, patiemment construits.
Un simple rayon de soleil ou de lune, pour éclairer une présence discrète.
Un secret à découvrir,
Une sagesse à contempler,
Des devas* à écouter.
Le vent dans les arbres,
Chant unique pour éveiller l’esprit des feuilles des fleurs des herbes sauvages.
Quelques pas maladroits pour tituber sur un sol fait de bosses et de fosses.
Une promenade vers notre enfance, à la recherche des émotions perdues.
Pousser les branches pour se frayer un passage,
S’écorcher les genoux en tombant sur les cailloux,
Se lacérer les chevilles en enjambant les lianes,
Retrouver le goût des cerises sauvage, des groseilles et des mûres.
Sculptures pour rêver.
Installations précaires subissant vent, pluie, orage, grêle.
Enfin les éléments retrouvés,
Dans un jardin enchanté.
Gisèle De Rop
* Deva : Mot sanscrit qui désigne un Etre de Lumière.
Les Devas servaient les anges gardiens des plantes et des animaux.
* Gaia : James Lovelock, “ la terre est un être vivant “ l’Hypothèse Gaia
“ Champs “ Flammarion 1992
Des sculptures à l’extérieur en accord harmonieux avec l’environnement.
Pas forcément une recherche exagérée de mise en valeur des pièces
qui doivent s’intégrer parfaitement aux plantes, aux arbres, au paysage,
au type de terrain.
Une recherche d’adéquation, et non pas une rivalité avec la nature.
Un consensus plutôt qu’une disparité, l’amour, plutôt que l’opposition.
Un regard englobant le tout (Land-Art).
Pas de séparation, mais un retour à la fusion.
Une humilité face à l’exubérance de la vie végétale.
Une approche simple, un dévoilement progressif.
Ne jamais perdre l’unité.
Solidarité et respect, sans faille.
La beauté sans vanité.
L’expression plutôt que l’endormissement.
Des retrouvailles avec la magie, avec les forces perdues ou saccagées de Gaia*
Des petits objets d’humanité, sans prétention, patiemment construits.
Un simple rayon de soleil ou de lune, pour éclairer une présence discrète.
Un secret à découvrir,
Une sagesse à contempler,
Des devas* à écouter.
Le vent dans les arbres,
Chant unique pour éveiller l’esprit des feuilles des fleurs des herbes sauvages.
Quelques pas maladroits pour tituber sur un sol fait de bosses et de fosses.
Une promenade vers notre enfance, à la recherche des émotions perdues.
Pousser les branches pour se frayer un passage,
S’écorcher les genoux en tombant sur les cailloux,
Se lacérer les chevilles en enjambant les lianes,
Retrouver le goût des cerises sauvage, des groseilles et des mûres.
Sculptures pour rêver.
Installations précaires subissant vent, pluie, orage, grêle.
Enfin les éléments retrouvés,
Dans un jardin enchanté.
Gisèle De Rop
* Deva : Mot sanscrit qui désigne un Etre de Lumière.
Les Devas servaient les anges gardiens des plantes et des animaux.
* Gaia : James Lovelock, “ la terre est un être vivant “ l’Hypothèse Gaia
“ Champs “ Flammarion 1992
Des sculptures à l’extérieur en accord harmonieux avec l’environnement.
Pas forcément une recherche exagérée de mise en valeur des pièces
qui doivent s’intégrer parfaitement aux plantes, aux arbres, au paysage,
au type de terrain.
Une recherche d’adéquation, et non pas une rivalité avec la nature.
Un consensus plutôt qu’une disparité, l’amour, plutôt que l’opposition.
Un regard englobant le tout (Land-Art).
Pas de séparation, mais un retour à la fusion.
Une humilité face à l’exubérance de la vie végétale.
Une approche simple, un dévoilement progressif.
Ne jamais perdre l’unité.
Solidarité et respect, sans faille.
La beauté sans vanité.
L’expression plutôt que l’endormissement.
Des retrouvailles avec la magie, avec les forces perdues ou saccagées de Gaia*
Des petits objets d’humanité, sans prétention, patiemment construits.
Un simple rayon de soleil ou de lune, pour éclairer une présence discrète.
Un secret à découvrir,
Une sagesse à contempler,
Des devas* à écouter.
Le vent dans les arbres,
Chant unique pour éveiller l’esprit des feuilles des fleurs des herbes sauvages.
Quelques pas maladroits pour tituber sur un sol fait de bosses et de fosses.
Une promenade vers notre enfance, à la recherche des émotions perdues.
Pousser les branches pour se frayer un passage,
S’écorcher les genoux en tombant sur les cailloux,
Se lacérer les chevilles en enjambant les lianes,
Retrouver le goût des cerises sauvage, des groseilles et des mûres.
Sculptures pour rêver.
Installations précaires subissant vent, pluie, orage, grêle.
Enfin les éléments retrouvés,
Dans un jardin enchanté.
Gisèle De Rop
* Deva : Mot sanscrit qui désigne un Etre de Lumière.
Les Devas servaient les anges gardiens des plantes et des animaux.
* Gaia : James Lovelock, “ la terre est un être vivant “ l’Hypothèse Gaia
“ Champs “ Flammarion 1992
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